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Enfants du Nicaragua - nostalgie de la culture


Docu | AUT/NICARAGUA 2004, 45 min

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La cinéaste autrichienne Carola Mair emmène le public pour un voyage au Nicaragua - dans le pays le plus pauvre d'amérique centrale. A cause de la lutte pour son indépendance. Les blessures du pays ne sont pas encore guéries. 66% des gens n'ont pas de travail, 34% sont analphabètes - il n'y a presque pas de réseau social. Le film se confronte également à la situation des personnes pauvres - spécialement la situation des enfants - qui doit aller travailler dans les rues au lieu d'aller à l'école.

 

C'est une façon de survivre, mais pas moyen de sortir du cercle de la pauvreté et d'obtenir une vie plus humaine dans le futur. 80 % des enfants Nicaraguéens vivent dans la pauvreté. L'aide vient d'ONG internationales et par l'engagement social. Des partenariats avec les villes d'Europe comme Linz, Wels, Salzbourg et la coopération au développement avec le gouvernement autrichien tentent de réduire cette mauvaise situation au Nicaragua.

Une station est la plus ancienne ville Nicaraguas et la plus merveilleuse de Grenade, où l'américaine Donna Tabor travaille dans des projets sociaux avec des enfants des rues. A Grenade, il y a aussi
“la casa de los 3 mundos” la maison des 3 mondes, l'un des plus importants établissements de culture du Nicaragua - sortie de terre par Dietmar Schönherr et Ernesto Cardenal.

Le film essaie de voir le monde à travers les yeux des enfants et d'obtenir une meilleure façon de comprendre les peuples du monde entier. Aussi pour avoir une meilleure conscience d'une nouvelle culture de solidarité et de montrer la richesse de la société d'Europe face à la pauvreté dans le sud du monde.

 

Le Nicaragua et son peuple ont été formés par des révolutions, des catastrophes, des corruptions au fil des ans. Depuis plus de 20 ans, Linz aide à différents programmes d'aide Dans la ville partenaire Nicaraguéenne San Carlos. Le voyage emmène le public non seulement dans cette ville sale à la fin du lac Nicaragua, mais aussi à l'île de Solentiname - où le poète Ernesto Cardenal et ministre de la Culture vivait avant qu'il ne devienne ministre de la culture du Nicaragua

Credits: Auteur/Directrice: Carola Mair

               Camera: Hermann Dunzendorfer, Max Auer

               Montage:  Erika Michalke

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